On peut considérer qu’il y a autant de fêtes au Japon qu’il y a de jours dans une année. De la plus petite divinité terrestre à la plus solaire des divinités célestes, chacune se doit d’être honorée au quotidien, mais aussi lors des festivals appelés matsuri. Et il y a des myriades de divinités shintô.
Chaque secte bouddhique honore elle aussi ses bouddhas et ses bodhisattvas dans de grandioses cérémonies.
Il y a également les grands défilés qui rappellent quelques pages de l’histoire du Japon.
Mais les fêtes les plus sympathiques sont celles qui restent en relation étroite avec la vie dans les campagnes ou les montagnes. Elles sont souvent un mélange populaire de rites shintô et bouddhiques, mêlé de superstitions et de croyances anciennes. Sans oublier tout simplement la contemplation des cerisiers au printemps, des érables en automne ou de la neige en hiver.